Des paysages tourmentés et austères, peu fignolés par Dieu le Père, une ville qui mâchonne son qat à l’ombre de ses façades de corail, un golfe sillonné pendant trois mois de l’année par les requins-baleines qui sont les plus gros poissons du monde, et puis aussi ce parfum de lointain et d’épices, soufflé depuis l’Océan Indien. C’est Djibouti, carrefour des mondes
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