
Comme tous les Viêtnamiens, j’ai toujours aimé les motos. Malheureusement pour moi, ça n’a jamais été réciproque. La dernière fois que j’en ai conduit une, j’ai fini la tête dans le guidon, à ronger mon frein. Et pas au figuré. C’était sur l’île de Phú Quốc, un endroit pourtant tranquille au Vietnam niveau trafic routier. Depuis lors, je prends des xe ôm (moto-taxi).
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