Si vous vous êtes déjà cassé la gueule en talons, place de Verdun ou si on vous a déjà fait chanter des chansons en occitan pour les spectacles à l’école, ça veut dire que vous venez de Tarbes. On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire le portrait d’un Tarbais.
Lorsqu’il était au lycée, le Tarbais a fait grève à l’Europe. Sinon, il se rendait aussi chez Poussin pour jouer à la belote.
Il a déjà fait, au moins, une fois le tour de la grande fontaine à Verdun en courant et il en est ressorti presque sec. Du coup, il a encore fait le tour de cette fontaine et … il en est ressorti tout mouillé. Le Tarbais passe ses hivers à La Mongie et ses étés à Hossegor.
Il a déjà passé ses samedis après-midi sur la terrasse du Maréchal à critiquer les passants et le soir au 65. Le Tarbais pense que Theo est un repère de « riches » et Marie-Curie un repère de « Hippies » et demande une poche au supermarché et une chocolatine à la boulangerie.
Jeune, lorsqu’il sortait du Triskel après avoir joué 2 heures au Bab, il fonçait au Moderne boire quelques derniers verres. Ensuite, il traversait la rue pour aller à la Grignotte s’acheter un américain avant de finir au Papagayo.
Si vous n’êtes pas de Tarbes, vous pouvez toujours visiter la ville.
En bonus
Tu sais que tu viens de Tarbes quand tu as toujours rêvé d’arracher des plumes aux paons du jardin Massey.
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