« Time Square »,

ce nom nous est familier à tous...

mais combien d’entre nous savent exactement

à quoi cela correspond ?

qui sait mettre en relation ce nom

avec une place qui nous est très familière

et que nous voyons finalement à tous les coins de rues :

 films, séries, photos de magasines…

Vue d'ensemble sur Time Square à New York,

ses buildings, ses pubs et sa foule

Photos Etats Unis 2012 : tous droits réservés ©

Je vous parle en connaissance de cause,

moi qui suis de Montélimar

tout le monde connaît le nougat,

mais qui est capable de décrire la ville !

En arrivant à Time Square,

 la première impression est d’être soufflés devant ce symbole

 de la Big Apple (New York)

En sortant du métro, 

on est immédiatement happés par l’immensité

 et la quantité de buildings,

par les publicités qui clignotent en tous sens…

et des gens… partout des gens !

Parmi cette foule, deux catégories bien distinctes :

d’un côté, les autochtones,

 affairés dans leur quotidien,

et d’un autre côté, les touristes

qui risquent à tout moment un torticolis

à force de lever leur tête en l’air

puis de la rabaisser subitement

vers leur carte en essayant de s’orienter !

Une façade originale, mettant en scène de la publicité

Photos New York 2012 : tous droits réservés ©

Et, garanti,

 on ne fait pas le malin dans cette jungle humaine

Ce ne sont pas moins de 365 000 personnes

qui passent pas jour à Times Square,

de quoi vous laisser

un de vos meilleurs souvenirs de vacances !

Cette expérience, David, Julien, Fanny et Alizée l’ont vécu

dans le cadre de ce partage du samedi,

vous pouvez les retrouver sur leur site ERVE

Cliché typique des séries américaines mettant en scène Time Square

Photos New York 2012 : tous droits réservés ©

1. d’Garden Hotel Kuala Lumpur Il est à noter que la communauté Couchsurfing, est hyper...
2. Survivre aux îles Perhentian – Blog voyage Malaisie Avec mon épouse, nous étions partis à la plage Turtle...
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L’Islande est vraiment

un pays particulier en Europe

Cette île est à l’écart de tout

et est située sur une dorsale océanique,

 ce qui lui procure

 une très intense activité volcanique

 (d’où d’ailleurs l’épisode des cendres

 du volcan Eyjafjöll

qui avait paralysé le trafic aérien au dessus de l’Europe).

Dans le parc du "Pingvellir",

la "faille" sépare les plaques eurasiennes et américaines

(de quelques mètres de hauteur si on regarde bien !). 

Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

Ce volcanisme produit également nombre de sources chaudes,

et de geysers plutôt impressionnants.

Le Blue lagoon, une eau  de source très chaude

 qui remonte à la surface avec l'activité volcanique.
L'eau est bleue et laiteuse

du fait de sa forte concentration en silice qui la compose.
Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

Julien de Malistedevoyage.fr nous propose d’ailleurs aujourd’hui

une photo qui illustre bien

ce que peut être un "petit" geyser en Islande…

Geysir, une zone d’où jaillit d'immenses mèches d'eau

(environ toutes les 10 minutes)
Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr © 

ce qui m’impressionne le plus,

c’est l’attitude des Islandais tout autour

qui sont complètement blasés

de voir cette colonne d’eau

jaillir des entrailles de la terre

toutes les 10 minutes,

et ne manifestent plus aucun émotion,

au contraire des touristes qui sont subjugués !

Vue sur une plage de sable noir vers Vik dans le sud de l'Islande

 (au fond, les rochers "Reynisdrangaret",

 selon la légende, un troll tirant son 3 mâts)

Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

L’Islande,

c’est également un paysage unique

et magnifique, une espèce d’allégorie

des paysages romantiques du XIXème siècle,

on ne se lasse pas de contempler

leur beauté…

… quelle place de choix dans

 nos meilleurs souvenirs de vacances !

Chutes de Gulfoss, les « chutes d'or » 

Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

Paysage islandais du sud et ses fermes agricoles connues

 pour leur production de laine et viande de mouton.

Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

Reykjavík, la capitale avec ses toits multicolores et sa baie dans le fond
Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

Enfin, l’architecture de l’habitat islandais

est également remarquable,

non seulement par la forme des maisons,

mais également par leur construction,

 avec la plupart du temps des toits végétalisés

 et une bonne partie de la construction enterrée,

pour maintenir au maximum la chaleur

dans cet environnement tout de même

très hostile pour l’homme !

Habitat traditionnel des islandais,

une maison à moitié construite dans le sol

et recouverte d'herbe

Photos Islande 2012 : tous droits réservés malistedevoyage.fr ©

La première est québécoise et a parcouru 100 000 km sur le pouce; le second est français, féru de voyage alternatif et notamment co-auteur des Ateliers du grand voyageur; le troisième, également français, est parti en vadrouille dans son plus simple appareil et sans un rond, pour la série documentaire Nus et culottés, diffusée sur France 5 (voir la vidéo ci-bas).

À eux trois, Anick-Marie Bouchard, Guillaume Charroin et Nans Thomassey ont colligé leurs meilleurs trucs de baroudeurs tels que cueillis sur le macadam, et ils en ont fait un livre: la Bible du grand voyageur, fraîchement publiée chez Lonely Planet.

Véritable mode d’emploi du voyage avec un grand V, foisonnante check-list de ce qu’il faut avoir et savoir pour partir avec un grand P, ce guide recense une foule “d’astuces indispensables pour voyager mieux avec moins”, que ce soit à pied, à vélo, en train ou dans la boîte arrière d’un pick-up.

En un mot comme en cent, il passe en revue à peu près tout ce qu’il est possible de prévoir dans l’organisation des voyages où domine l’imprévu – sauf si on part en famille -, question d’entamer la genèse des départs sans que ceux-ci ne virent à l’apocalypse. Le tout, sans coût férir.

Entre autres choses, la Bible du grand voyageur traite de plusieurs techniques inusitées à utiliser en pérégrinant : bateau-stop, avion-stop et camping urbain; cuisine sauvage (comment se débrouiller en nature sans finir ses jours comme dans Into the Wild); glanage urbain (l’art de récupérer la bouffe des marchands avant qu’ils ne la jettent) ou hébergement spontané (comment se faire inviter à dormir à l’oeil).

On y aborde également l’achat d’un sac à dos et de ce qu’il devrait inclure (les tableaux sont presque trop détaillés!) jusqu’aux bêtes formalités administratives, en passant par la planification du budget, les trucs pour se trouver du boulot à l’étranger ou rentabiliser son voyage, mais aussi d’intéressants chapitres sur la compensation carbone, le voyage au féminin, les bénéfices des huiles essentielles en voyage et les communications interculturelles, ou comment composer avec les réalités des ailleurs suivant diverses situations.

Si, parfois, les conseils paraissent un tant soit peu figés dans l’abstrait, l’ouvrage est ponctué de témoignages décrivant moult expériences et situations vécues, testées et approuvées par les auteurs, ce qui permet au lecteur de bien les ancrer dans le réel… tout en lui confirmant que tout ce qu’il a lu est bel et bien possible.

Au surplus, en ces temps de surconsommation touristique et de tourisme de masse extrême, il appelle à des formes de voyage alternatif, plus écolosensibles, plus responsables, plus équitables.

Bref, parcourir la Bible du grand voyageur est des plus rassurants pour quiconque n’a jamais largué les voiles vers l’inconnu, tout en demeurant un ouvrage de référence fort instructif pour le voyageur, aguerri ou pas.

Ah! Surtout, ne pas oublier de lire le chapitre Préparation au retour, lorsque vous rentrerez de votre tour du monde en cargo-stop…

La Bible du grand voyageur sera disponible au Québec au début du mois d’octobre.

Cliquer ici pour voir la vidéo.

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Septembre, c’est le mois des vendanges. Un grand moment de festivités dans la ruralité de France et d’ailleurs. En route pour un petit tour du monde des vendanges en images.

Ayons une pensée reconnaissante pour ceux qui – au moment où vous lisez ces lignes – se trouvent dans les « tranchées » des vignobles du Beaujolais, de Champagne ou du Bordelais pour cueillir le précieux raisin qui fera le vin que nous dégusterons dans quelques années.

Avez-vous déjà eu la chance de vivre les vendanges ? C’est pour beaucoup un moment exceptionnel qui laisse des souvenirs impérissables. Pour les urbains, c’est le retour au terroir, à une certaine forme d’authenticité. Pour les locaux, c’est le fruit d’une année de travail et un moment de festivités.

Voici des images qui vous emmènent aux 4 coins du monde : en France, aux États-Unis, au Chili et en Nouvelle-Zélande (même si ce n’est pas encore le temps des vendanges dans ces deux derniers pays).

En France, la Bourgogne à l’heure des vendanges

En France, les vignerons sont de plus en plus nombreux à sensibiliser le grand public à leur activité, à leur art, avec des opérations portes-ouvertes : initiation à la récolte du raisin, visite de chais, dégustation de vin et repas sur place, la bonne ambiance est garantie. Si vous habitez proche d’un vignoble, renseignez-vous, ce pourrait être l’occasion d’un week-end sympa en famille.

Crédits photos : The Hungry Cyclist – Food Explorer, Martin Castellan / Flickr cc.

En Californie, dans la Napa Valley

La Californie produit à elle seule 90% de la production viticole totale des États-Unis, le 4ème producteur au monde. Beaucoup de vignobles se trouvent dans le Nord de l’État, dans la Napa Valley non loin de San Francisco.

Vol San Francisco

Crédits photos : trail trekker, david bormann, wgnielson, toccatamundi / Flickr cc.

Au Chili

Au Chili et en Argentine, c’est au mois de février que l’on récolte le raisin. Des milliers de personnes participent chaque année à la “Fiesta de la Vendimia” pour célébrer les vendanges dans la ville de Santa Cruz, au centre du pays. Une belle occasion de découvrir le folklore local ainsi que les surprenants vins chiliens.

Crédits photos : uncorneredmarket, marfil F, rafa2010 / Flickr cc.

En Nouvelle-Zélande

Ah les paysages de Nouvelle-Zélande… quelle beauté. Beaucoup de jeunes européens profitent d’un “Working Holiday Visa” pour aller travailler quelques mois au bout du monde. Dans les vignes notamment, en compagnie des Maori des îles avoisinantes du Pacifique.

Crédits photos :Kyle Kruchok, Shaun Quinlan, Trevor Dennis, destina.munro / Flickr cc.

Avez-vous déjà eu la chance de faire les vendanges ? Dans quelle région était-ce ?