En 1958, les Etats-Unis ont réalisé deux tests d’explosion de bombes atomiques sous-marines, connues sous le nom de code Wahoo et Umbrella.

La vidéo qui suit fait partie de la nouvelle version HD du film « Atomic Filmakers – Hollywood’s Top Secret Film Studio ».

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En cette journée où on se demande de quoi sera pétri l’iPhone 5, l’un des paradigmes de la technologie du tourisme en ce Troisième millénaire, il est assez rigolo de revenir plus de cent ans en arrière pour voir comment certains envisageaient l’évolution de l’industrie touristique et des loisirs, peu avant l’Exposition universelle de 1900.

L'avenue de l'Opéra, dans le Paris de l'an 2000, telle qu'imaginée en 1899 - Wikimedia//Paleofuture/Bibliothèque nationale de France

Ainsi, selon Jean-Marc Côté et d’autres artistes de sa génération, en l’an 2000, nous aurions dû:

-Emprunter des navires-dirigeables pour franchir de grandes distances;

-Prendre place à bord de l’Express Paris-Beijing comme s’il s’agissait d’un train de banlieue;

-Explorer le fond des mers à l’aide de baleines;

-Se déplacer en taxi-volant…

-… mais faire gaffe aux agents aériens;

-Troquer la chasse à courre pour la chasse à ailes;

-Loger dans des hôtels roulants…

-… ou construits par des robots.

Trouvé via Tnooz et Paleofuture

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Si une simple carte d’identité nous permet à nous autres les humains de voyager d’un pays à l’autre de l’Union européenne, il n’en va pas de même pour nos animaux de compagnie. Saviez-vous que votre chien, votre chat ou votre furet doit être en possession d’un passeport ? Voici les formalités à accomplir avant votre départ.

La mauvaise nouvelle – même si ce n’est pas réellement nouveau – c’est que vous devez effectuer des démarches administratives pour votre animal avant votre départ. Le plus important : dégotter un passeport. La bonne, c’est que ces formalités et ce passeport sont identiques pour le déplacement de l’animal dans tous les pays de l’UE.

Les 3 conditions à remplir

Pour pouvoir voyager dans l’UE, votre animal de compagnie doit remplir les 3 conditions suivantes :

• Être identifié par puce électronique (transpondeur) ou par tatouage apposé avant le 3 juillet 2011. Le tatouage doit être clairement lisible
• Être vacciné contre la rage et être en mesure de le prouver (avec le passeport)
• Posséder un passeport européen pour animal de compagnie

A propos du passeport

C’est ce fameux passeport européen qui vous permettra d’attester de l’identification de votre animal – Rex, Médor ou autre – et de sa vaccination contre la rage. Il est très simple à obtenir puisqu’il vous sera délivré par un vétérinaire titulaire d’un mandat sanitaire. Prenez juste garde à vous y prendre suffisamment à l’avance pour l’obtenir car votre animal devra se faire vacciner au préalable.

Le passeport est valable dans tous les pays de l’UE, ainsi que les pays voisins suivants : Andorre, Islande, Liechtenstein, Monaco, Norvège, San Marin, Suisse et Vatican.

Où vous adresser ? Au service des douanes françaises, à l’ambassade de France dans le pays visité, ou, beaucoup plus simple, à votre vétérinaire, car c’est lui qui sera le plus à même de vous conseiller.

4 pays qui ne font pas comme les autres

Quatre pays exigent toutefois des conditions supplémentaires pour l’entrée des chiens sur leur territoire : Irlande, Malte, Finlande, Royaume-Uni.

Votre animal doit :

• être âgé d’au moins 3 mois :
• avoir subi un traitement antiparasitaire

Source : http://vosdroits.service-public.fr

Photo : bravoinsd / flickr cc

Flash back. Lors de mon séjour en Indochine en 2009, avant un retour au Cambodge, cette belle ville du Laos fut un de mes meilleurs souvenirs. Une ville qui malgré l’afflux de visiteurs conserve une vraie magie.

Visiter Luang Prabang : un voyage à part

Voici une ville étonnante. Luang Prabang a beau être devenue le site le plus touristique du pays, l’endroit est pourtant étonnamment paisible. Malgré l’afflux des falangs (étrangers), la population reste très souriante. Ici, vous sentirez peu de pression de la part des commerçants. Ainsi au marché de nuit de la ville qui a lieu chaque soir, vous déambulerez tranquillement au milieu des stands illuminés proposant la production artisanale locale.

Les chauffeurs de tuk-tuk vous interpellent parfois, toujours avec un air timide, sans trop y croire, et avec nonchalance. Vous avez l’impression qu’ils font cela surtout pour la forme!

Il faut dire que pour beaucoup de Laotiens, “trop travailler est mauvais pour la tète”! Du coup, ils ne sont pas très friands d’un travail engendrant du stress.

Ainsi, une expression des colons français disait que “les Vietnamiens plantent le riz, les Cambodgiens le regardent pousser et les Laotiens l’écoutent”! Il y a du vrai tant le fossé entre les Vietnamiens et les Laotiens est visible! Pour moi, le Laos, c’est un peu l’Afrique de l’Asie !

Autre bonne surprise, la circulation. Celle-ci est réduite, et surtout aucune cacophonie de klaxons! Ils ne l’utilisent pas à tout bout de champ comme bien souvent ailleurs en Asie. Après quelques mois en Asie, un tel “silence” se remarque…tout de suite! Et c’est très agréable!

Le Vat Xieng Thong, les autres temples bouddhistes…

Classée par l’UNESCO, la ville est située près du Mékong à 700 mètres au-dessus du niveau de la mer. Depuis la construction de la route 13, le trafic sur le fleuve c’est considérablement réduit. Moi qui voulais rejoindre alors Vientiane en bateau cargo, j’ai eu beau demander, il n’y en avait quasiment plus, la route est moins chère et plus rapide.

J’ai passé de belles journées à Luang Prabang. Sa quiétude, son atmosphère pousse à vous y attarder plus que vous ne l’auriez pensé en y posant votre sac. Les nombreux temples situés sur cette presque-ile et sur l’autre rive du Mékong valent la visite. La plupart ont plusieurs siècles et ont étés très bien conservés. Colonnes dorées, toits étincelants à plusieurs niveaux descendant jusqu’au sol, feuilles d’or et bouddhas de diveres tailles, c’est un festival pour les yeux!

Le plus marquant est sans doute le Vat Xieng Thong et sa belle mosaïque représentant “l’arbre de la vie”. A mentionner le Palais Royal, résidence de ces rois d’opérettes plus esclaves des français que maîtres en leurs demeures. Le Palais Royal offre tout le « bazar » habituel: trône, dorures et autres signes de puissance et de richesse que ces despotes se croyaient obligés d’exhiber aux yeux de tous. Toujours la même histoire. Ces lieux me laissent plutôt indifférent. Dire qu’encore aujourd’hui dans nos contrées, certains rêvent devant devant ces tètes couronnées…

Le marché local est un régal tôt le matin. La lumière y est belle, éclairant les étales et le sourire des vendeuses. Des mets plus étranges les uns que les autres y sont proposés: grenouilles, insectes divers et variés, serpents, lézards et même des espèces d’iguanes!

L’amoncellement des fruits me fait toujours saliver. J’en profite pour me remplir la panse: mangues fruitées, litchis succulents, bananes sucres, oranges, fruits de la passion, noix de coco, fruits shake pour 30 centimes d’euros…

Les “sabadee” fusent de partout. Je trouve qu’aux oreilles, le salut laotien est l’un des plus beaux au monde. Il est facile à retenir et ce bonjour-là est chantant à souhait. Je m’amuse à le moduler en appuyant parfois de façon exagérée sur la dernière voyelle, ce qui donne “sabadeeeeeee!”. Et ce qui déclenche le sourire de tous et une réponse tout aussi appuyée. Des rencontres de voyage furtives, mais mémorables:-). Leur “je t’aime” doit être très beau à entendre, j’en suis sûr, je serais curieux de l’entendre.

…et des moines !

Les moines sont toujours curieux de pouvoir parler anglais aux visiteurs, ces moments sont toujours agréables entre deux éclats de rire.

Les robes safrans se profilent parfois au détour d’une rue, elles se découpent sur la blancheur d’un mur. Vers 5h30, chaque matin, les nombreux moines de la ville déambulent dans les rues de la ville quémandant de la nourriture pour la journée aux habitants. Un véritable spectacle.

Au fil des rues calmes et étroites de Luang Prabang, ma mémoire retiendra la cueillette des mangues par ces moines joviaux à l’aide d’une tige de bamboo. Plus un jeu qu’un travail. Je retiendrai aussi les parties de Petang (pétanque) le long du Mékong. Un héritage français qui a bien pris racine, les Laotiens ont récemment gagné un tournoi international en Asie.

Quant à l’équipe nationale de football, elle se révèle incapable de gagner le moindre match. Les Laotiens en rigolent évoquant le fait que les joueurs boivent trop de Laobeer!

Cette photo doit vous dire quelque chose:-)

 

En fin de journée, des pêcheurs utilisent un grand filet en bois avec des gestes lents qui font penser à une danse. Plus loin, des barques de pêcheurs passent lentement. Elles relient les deux rives du fleuve et permettent de rejoindre par la voie des eaux plusieurs villes du nord. Des bétaillères à touristes débarquent en fin de journée de la frontière thaïlandaise. Des enfants se baignent, plongeant d’un vieux cargo dans de grands éclats de rire. Le temps me permet d’admirer de beaux couchers de soleil sur le Mékong tout en buvant une bière Lao sur une des nombreuses terrasses de la rive.

 

 

Le premier soir de retour dans la Guest-House, je m’assois sur le canapé du salon. Le maître des lieux regarde la télévision, tenant un remuant bébé dans les bras. Il me demande d’où je viens, où je vais, bref les traditionnelles questions. Sa fille me propose de partager le repas. La famille du patron est décidément sympathique. Je prends congé et je me dirige en direction de ma chambre. Vraiment, les Laotiens sont accueillants, car…je me rends compte, mi gêné mi-amusé, que je me suis trompé de maison! Ma Guest-House était la suivante! Et non pourtant je n’avais rien bu!

 

Le Laos reste une des destinations que j’ai le plus aimé en Asie. Et vous, connaissez-vous Luang Prabang ?

 

 

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