Ou la nécessité d’avoir une bonne assurance voyage ! Sans parler de rapatriement, les soins médicaux sont élevés dans certains pays, je m’en suis rendu compte il y a peu en Colombie…

Prenons un exemple : moi !

Le lendemain de mon retour en Amérique du Sud début août, j’ai ressenti une douleur au mollet gauche. Bizarre. En cherchant sur internet, je me suis rendu compte que cela pouvait éventuellement être une phlébite.

Ce syndrome correspond à la formation d’un caillot de sang à l’intérieur d’une veine. Si rien n’est fait, les conséquences peuvent être graves et conduire à un œdème pulmonaire ! Bref, il faut prendre cela au sérieux ! La phlébite arrive parfois lorsqu’un de nos membres est resté longtemps dans une certaine position. Or, je venais de faire un long vol depuis Paris…

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Oui, c'est mon mollet là...

Une phlébite?

J’ai donc contacté mon assurance voyage pour leur faire part de mon problème. Ils m’ont alors donné l’adresse d’un médecin ici à Bucaramanga.

Première surprise au cabinet du médecin : il faut payer tout de suite avant la consultation. Cela change de la France…40 000 pesos, soit 18 euros.

C’est cher pour le niveau de vie du pays. Pour rappel, le SMIC en Colombe est autour de 250 euros….En clair, vous devez ici avoir une bonne assurance et une bonne mutuelle (privée). Et encore, elle ne rembourse pas tout….Autrement dit, si vous n’avez pas d’argent, il vaut mieux aller prier tous les dimanches pour que rien n’arrive !

Cela dit, revenons au patient que je suis devenu. Le médecin pense que mon problème est musculaire, mais pour ne pas prendre de risque, il me recommande de faire une échographie et un Doppler. Ce dernier examen permet d’étudier le débit du sang dans les artères et les veines. Bref, si j’ai une phlébite, cela va être facile à voir !

Les frais médicaux dans le monde : attention les yeux !

Pour l’échographie, c’est déjà cher….Autour de 60 euros. Pour le Doppler, on frise les 200 euros!

En téléphonant à divers centres d’analyse, je me rends compte qu’il y a de grosses différences de prix. Je trouve finalement une adresse proposant l’échographie à 40 euros, c’est déjà mieux !

En fin de compte, ma douleur va diminuer rapidement. Il s’agissait en fait d’une banale tendinite. Point de Doppler et quelques séances de kiné en prime. Et beaucoup de patience !

Total des soins : 160 euros.

Ils seront remboursés par mon assurance après l’envoie des factures.

Au niveau du coût, cela reste raisonnable. Mais imaginez si j’avais eu un grave accident nécessitant de la chirurgie et des nuits d’hôpital. Cela peut vite chiffrer à plusieurs milliers d’euros. Sans parler d’un rapatriement.

Les pays qui abusent…

Et encore, il existe des pays où le système de santé est bien plus cher. Sans parler des endroits très touristiques où l’on charge les touristes, de quoi avoir une crise cardiaque en voyant la note ! Des exemples ?

Chez Mondial Assistance, ils m’ont fourni ces chiffres issus de son fichier client :

• Égypte : une migraine à Hurghada, 651 €
• Espagne : un rapatriement depuis Malaga, 28000 €
• Saint-Domingue : une gastro-entérite, 3010 €
• USA : un passage aux urgences à Miami, 53000 €
• Tunisie : une angine à Hammamet, 722 €
• France : des secours en hélicoptère, 3251 €

Il y a de quoi virée de l’œil non ? 53 000 euros un passage aux urgences ! Pour ceux qui ont lu documentaire Sicko de Michael Moore sur le système de santé, cela ne devrait pas trop vous étonner…

Une simple consultation chez le médecin est facturée 150 dollars. Alors, vous faites quoi si vous n’avez pas d’assurance et que vous êtes victimes d’un accident de la route aux USA ?

Enfin, sachez que dans certains pays, les services de soins prennent des garanties d’office. C’est-à-dire qu’arrivée aux urgences, même inconscient, votre carte de crédit est « confisquée » pour s’assurer que vous allez bien payer, et que vous avez assez d’argent…Je sais, cela pourrait presque choquer.

L’assurance voyage : obligatoire ?

Cela va peut-être vous paraitre évident, mais je vous jure que ce n’est pas le cas pour tout le monde. Certains lecteurs du blog m’ont déjà demandé s’il devait prendre ou non une telle assurance ! La question ne devrait même pas se poser, une assurance voyage est vitale !

Le raisonnement qui consiste à se dire que cela n’arrive qu’aux autres, qu’il y a très peu de chance que quelque chose arrive n’est pas vraiment un raisonnement très pertinent.

Le biais optimisme

Ce mécanisme se nomme le biais optimisme. Comme je l’explique dans mon guide, la méthode a.t.i.p.i.c., c’est ce qui fait que nous pensons que les pires choses n’arrivent qu’aux autres. Et que nous pouvons donc avoir une conduite à risque.

J’ai aussi rencontré des voyageurs qui ne prenaient plus d’assurance voyage, car la première fois, il n’en avait pas eu besoin. Bon, un peu curieux comme raisonnement non ?

D’autres personnes font le choix de ne pas en prendre et de payer sur place, sans être remboursé. Ils voyagent dans des pays où les frais médicaux ne sont pas exagérés. Ils comptent sur la chance afin d’éviter les coups durs. C’est un choix. S’il n’y avait pas la question de la chance, il pourrait même être presque raisonnable. Si l’on se connait bien, si l’on n’est pas casse-cou, pourquoi pas. Le problème, c’est que la chance ne se contrôle pas…Il peut toujours avoir un moment où l’on « perd » face à elle.

Pour ma part, j’ai toujours pris une assurance voyage, hormis les cas où j’étais couvert par ma carte de crédit. J’ai fait appel à mon assurance voyage deux fois dans ma vie : il y a quelques semaines comme je vous le disais plus haut et lors d’un voyage en Inde pour une amibiase.

Bien sûr, si je calcule combien j’ai dépensé pour la souscription de l’assurance au total et ce que cela m’a évité de payer de ma poche, la balance penche sérieusement d’un côté. Pour autant, au risque de me répéter, personne ne peut contrôler la chance, personne. Prendriez-vous ce risque ?

Et l’assurance de ma carte bancaire ?

Si vous achetez votre vol ou votre voyage avec votre carte bancaire, celle-ci comprend une assurance voyage et maladie. Celle-ci est valable pendant les 90 premiers jours de votre voyage. Après, vous n’avez plus aucune couverture.

Trois cas sont à considérer :

- Une carte classique. L’assurance comprend l’assistance. Par contre, la responsabilité civile par exemple n’est pas comprise. Et les plafonds de remboursement sont restreints (12 000 euros pour les frais médicaux par exemple).

- Les cartes Gold et Premier. Les conditions sont meilleures et les plafonds bien plus élevés. 

Dans tous les cas, lisez attentivement les conditions relatives à votre carte bancaire.

Dernier point, la carte européenne d’assurance maladie ne dispense pas d’une assurance voyage. En fait, elle ne sert pas à grand-chose, si ce n’est qu’elle vous garantit l’accès aux soins public, au même tarif que les locaux.

D’accord, une assurance voyage est obligatoire. Mais comment bien la choisir ? Je vous dirais cela dans un prochain article!

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Le palais de la Méditerrannée à Nice accueillera le 22ème congrès de l’ALFA-ACI*, les 13 et 14 septembre 2012. Au programme cette année « l’aéroport de demain : quel fonctionnement, quels services ? ». Une exposition de fournisseurs et d’équipementiers d’aéroports aura lieu, au même moment.

*L’ALFA-ACI regroupe les dirigeants d’environ 80 aéroports français et étrangers francophones.

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Hier, nous vous parlions de cette histoire. Un avion de Tunisair avait eu 36 heures de retard. La directrice Centrale des Relations Extérieures et de la Communication de Tunisair s’est depuis exprimée, rapporte nos confrères de tourmag. « La liaison affrétée en charter par Voyamar devait initialement décoller de l’île tunisienne à 18h30. Mais, étant programmé sur 3 autres vols dans la journée, le CRJ900 a subi une panne technique à l’aéroport de Monastir, engendrant un retard de 6h40 » explique-t-elle. Le lendemain, « suite à un cumul de retards antérieurs », le vol a été repoussé une première fois « avec une estimation de départ à 22h45 » indique-t-elle. Les voyageurs partiront finalement à 00h45.

« Tunisair Express informe que toutes les réclamations des passagers seront traitées et examinées (…) et des indemnisations seront servies en faveurs des passagers Djerba-Nantes et Nantes-Djerba » assure la directrice. « La compagnie présente toutes ses excuses pour ce fâcheux incident qui est venu gâcher un retour de vacances. »

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Que ce soit pour un ou plusieurs jours, les Français sont de plus en plus nombreux à pratiquer la randonnée. Et prochainement, c’est vous qui souhaitez partir en faire ? Alors, avant d’y aller, nous vous donnons 5 conseils.

Bien s’équiper

En cas d’accident, mieux vaut avoir un portable chargé sur soi, une carte et une boussole ou GPS. Alors ne les oubliez pas. Au moindre problème, une trousse à pharmacie, un couteau et une lampe de poche vous seront d’un grand secours. Prenez aussi une toile de tente, un duvet et un réchaud pour plusieurs jours et un sac à dos : à bretelles réglables et bien adapté en taille à la durée de la randonnée.

Attention, vous ne devez pas porter plus de 20% de votre poids. En cas de grosse chaleur, emmenez une paire de lunettes de soleil, un chapeau et une crème solaire. Enfin, la randonnée ça creuse. Donc à prendre : de la nourriture et une gourde. Et comme vous ferez attention à la nature : du papier toilette et des sacs poubelle.

Choisir ses vêtements

Commencez par choisir la chaussure idéale. Celle qui ne vous fera pas mal aux pieds. Elle doit être légère, souple et confortable. Les orteils doivent bouger. Pour les chaussettes, préférez le coton ou la laine mélangée et évitez l’acrylique. Bien sûr, prévoyez des rechanges.
Ensuite, adapter vos vêtements en fonction du parcours et de la température. Pas de tenue assez courte l’hiver ! Pas de jean, mais plutôt un pantalon souple.

Savoir sélectionner sa randonnée

Pour les débutants, favorisez une excursion courte de moins de 7 heures. Ce sera l’occasion de prendre le grand air. Ainsi, l’équipement sera léger. En revanche si vous choisissez de partir quelques jours, vous devez avoir une bonne condition physique. Et aussi, vous devez organiser les différentes étapes. Où dormir ? Y-a-t-il un endroit à éviter ? Où se trouve l’arrivée ?

Regardez la météo

Avant votre départ, vous devez consulter la météo. Ne pas partir les jours de fortes pluies. Vous pouvez reporter cette randonnée à plus tard. Sinon, posez-vous d’autres questions : Quelle sera la durée du jour – du lever du soleil à son coucher ? Y va-t-il y avoir des rafales de vents ? Quelles seront les températures minimales et maximales ?

Prévoir l’imprévisible

Vous devez toujours avoir à l’esprit que rien ne se passera comme prévu. Que faire si quelqu’un se blesse ? Que faire si quelqu’un ne veut plus marcher ? Que faire si l’on est perdu ? Que faire si l’on ne peut ni avancer ni reculer ?

Maintenant, si vous savez répondre à ces questions et que vous êtes bien équipés, c’est bon, vous pouvez y aller.

[Photo 1, Photo 2,Photo 3]

Etre en communion avec la nature et découvrir sous un nouvel angle votre destination touristique. Avant d’être un parcours sportif, c’est ainsi que nous vous avions présenté il y a peu la via ferrata. Cette semaine, nous vous proposons de découvrir un top 5 des plus belles via ferrata de France. Qu’elles soient, pour les grands sportifs, les personnes aveugles ou Monsieur Tout le Monde, il y en aura pour tous les goûts.

La via ferrata de Liaucous, Aveyron (12)

A proximité de Millau dans les Gorges du Tarn, la via ferrata de Liaucous propose deux parcours de difficultés différentes qui vous feront évoluer vers le sommet de la falaise. Là-haut, vous profiterez d’un panorama magnifique sur la vallée du Tarn et les villages de Liaucous et de Mostuéjouls. Le parcours est merveilleux et le retour sur les corniches du Causse de Sauveterre, au milieu d’un énorme chaos de rochers mérite à lui seul le détour. Vous franchirez les précipices par de nombreux ponts népalais, de singe ou des passerelles. A signaler, un passage très original dans une grotte. La via ferrata pourra se terminer au choix par un tyrolienne de 30m ou un sentier.

La Grande Fistoire, Alpes de Hautes Provences (04)

Située dans les Alpes de Haute Provence, à 25 km au nord est de Sisteron, la Grande Fistoire compte désormais trois tyroliennes (130 / 150 et 220m). Cette via ferrata est surtout réputée pour son parcours sportif et aérien. Un programme très riche, avec une passerelle de 60 m de long, un bombu et une dalle couchée. Les plus audacieux pourront traverser le rocher de la petite fistoire et emprunter un pont népalais pour accéder au rocher de la Grande Fistoire. Pour terminer, une sortie déversante de 50 environ, appelée la « Grande Muraille », vous donnera quelques frissons.

La via ferrata Jules Carret, Savoir (73)

A 20 minutes de Chambéry, la via ferrata Jules Carret est considérée comme l’une des plus difficiles de France. Elle est classée ED+ (extrèmement difficile). Il faudra être sûre de vous avant de vous y rendre car la Grotte de Carret ne possède que peu d’endroits pour récupérer. Très vite, le parcours deviendra aérien et proposera des passages très physiques. Mais vous trouverez votre bonheur en empruntant un magnifique pont népalais ou auprès d’une belle cascade. Cette via ferrata vous offrira également une vue somptueuse sur le bassin Chambérien et le Mont Granier.

Via-ferrata de Malzieu-Ville, Lozère (48)

La particularité de cette via ferrata ? Une partie est accessible aux personnes aveugles et mal-voyantes. Elle propose trois parcours dédiés aux débutants, expérimentés et très expérimentés. Tout au long du chemin, vous serez accompagnés par le bruit du torrent. La partie la plus dure ajoute un pont de singe et deux surplomb par rapport au tracé simple. Vous profiterez au cours de votre ascension des beaux paysages de Losère, dans un cadre sauvage.

La via ferrata des Echelles de la mort, Doubs (25)

C’est paisible. La via ferrata des Echelles de la mort se situe au fond de gorges, en Franche-Comté, où le Doubs coule paisiblement. Le plus souvent en latéral sur une belle roche calcaire, le parcours est une suite de traversées successives de petits murs raides, ponts de singe, poutres, ponts népalais et tyroliennes. A la fin, les courageux se verront gratifier d’une tyrolienne de 60 mètres.

Nous voici arrivé à la fin de cet article. Nous espérons qu’il vous aura donné envie de partir à la découverte de ces via ferrata.

Pour finir nous tenons à remercier viaferrata-fr.net pour nous avoir donné l’autorisation d’utiliser ses photos et nous vous invitons à aller découvrir ce site pour plus d’informations concernant les Via ferrata partout en France.

[Auteurs : Photo 1, Photo 2 : Jean-jacques Huselstein, Photo 3 : Thierry Cuny, Photo 4 : Sylvain Lébre, Photo 5: Toff, Photo 6 : Estelle Glattard]

Le pape va utiliser des voitures françaises 100% électriques. En effet, Renault a fait, don mercredi, au Vatican, de deux Kangoo. Réalisé sur le modèle d’un Kangoo Maxi Zéro, le pape se déplacera dans le premier véhicule dans sa résidence d’été. Esthétiquement proche de la première, la deuxième voiture est destinée à la sécurité. Ce sera la Gendarmerie du Vatican qui la conduira.

[Photo ]

La capitale thaïlandaise est réellement impressionnante et elle peut même paraître un peu  « décontenançante » au premier abord. S’il s’agit de votre premier voyage en Asie du Sud-Est, il y a quelques petites choses qu’il est essentiel de savoir.

Parlons un peu technique…

Rallier le centre-ville depuis l’aéroport

Il y a deux grands aéroports à Bangkok : l’aéroport Suvarnabhumi et l’aéroport Don Muang. La plupart des visiteurs étrangers débarquent au premier. Il se trouve à une trentaine de kilomètres du centre-ville. Le meilleur moyen pour rallier le centre, c’est le train, rapide et pas cher. Les trains circulent tous les jours de 6h à minuit.

La « Express Line » vous dépose aux stations Mukkasan ou Phaya Thai en 15 minutes, pour 90 bahts l’aller (1,80 €).
La « City Line » prend un tout petit peu plus de temps – environ 25 minutes – mais coûte encore moins cher, 15-45 baht (30-90 centimes d’euro), selon la station où vous descendez.

Se déplacer en ville

Les Parisiens sont habitués aux embouteillages… Mais nous devons dire que Bangkok surclasse tout dans ce domaine. Ne louez votre propre véhicule que si cela s’avère strictement nécessaire et préférez le « Skytrain », le métro. Pour notre part, nous avons un faible pour les bateaux qui sillonnent la ville sur ses canaux.

Petite astuce : avoir à disposition dans ses poches des pièces de 5 et 10 baht pour acheter facilement vos billets, car les tarifs s’échelonnent de 15 à 40 bahts, selon le nombre de zones traversées.

Vous devriez emprunter au moins une fois l’un des bateaux qui naviguent sur la rivière Chao Phraya au cours de votre séjour à Bangkok. Embarquez par exemple sur le Chao Phraya Express Boat de Phra Arthit pour explorer Khao San Road.

Question d’argent

Le baht thaïlandais

Il est bon d’en savoir un peu plus sur la monnaie locale avant votre arrivée, histoire de ne pas vous retrouver en panique devant un guichetier pressé de passer au client suivant. Le baht thaïlandais peut être divisé en 100 satang. Les pièces les plus courantes que vous aurez dans votre poche sont des pièces de 25 et 50 satang et des pièces de 1, 2, 5 et 10 baht. Les billets sont eux de : 20, 50, 100, 500 et 1000 baht.

Faut-il laisser des pourboires à Bangkok ?

Il n’y a pas de culture très stricte du pourboire à Bangkok. Tout de même, laisser un petit quelque chose de plus sera apprécié si vous avez été satisfait du service.

• Dans les taxis : on arrondit généralement au 10 supérieur
• Au restaurant : les frais de service sont déjà facturés à hauteur de 10%
• A l’hôtel : le pourboire n’est pas prévu.
• Massages, coiffeur, etc. : un pourboire de 20 ou 50 baht est généralement laissé

Vol Bangkok

Explorer et apprécier

Les sites gratuits

Quand c’est gratuit, c’est toujours mieux, n’est-ce pas ? Si votre budget est limité pour votre visite de la Thaïlande, autant profiter des attractions gratuites. En voici certaines, mais la liste n’est pas exhaustive.

• Le sanctuaire Erawan (dans Ratchaprasong) est généralement entouré par des musiciens et des danseurs
• Khao San Road pour son bonne ambiance et ses artistes de rue
• Les marchés de rue comme celui de Chatuchak, Muay Thai ou encore Wat Amulette Mahatat
• Temples le long du fleuve Chao Phraya, y compris Wat Arun et le Temple Aube
• Le Sanctuaire du pénis derrière Nai Lert Park Hôtel … une plaque tournante pour la culture tantrique
• Chinatown à proximité de la gare Hualamphong
• Lumpini Park
• Le Royal Elephant Museum

Avez-vous déjà visité Bangkok ? Quels conseils donneriez-vous aux nouveaux visiteurs ?

Photos : peterhellberg, archer10, william_christiansen / Flickr cc.

Pour l’instant, aucun objet humain n’est allé si loin. Lancée le 5 septembre 1977, la sonde Voyager 1 va bientôt entrer dans un espace encore inconnu. Selon les scientifiques responsables du projet, elle « serait déjà en train de «danser à la limite» de l’espace intersidéral ».

En 2004, Voyager 1 a franchi le « choc terminal », la limite où le vent solaire du Soleil est arrêté par le milieu interstellaire. Ensuite, elle s’est infiltrée dans l’héliogaine. Et depuis mars 2010, selon les scientifiques, la sonde est passée dans une « région de transition de l’héliogaine ». Maintenant, Voyager 1 se situe à plus de 121 unités astronomiques (UA) du soleil, soit 121 fois a distance qui sépare la Terre du Soleil.

Malheureusement, après 2025, Voyager 1 ne communiquera plus avec la Terre et poursuivra son voyage seule. Elle devrait pénétrer dans un système solaire voisin dans 75 000 ans.

Pour voir le parcours en temps réel de la sonde, qui s’avance à plus de 20 kilomètres/seconde dans l’inconnu : Voyager – The Interstellar Mission

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Premier voyage avec MonNuage, je retrouve Antoine à la gare, direction la Marne et plus particulièrement le pays du Lac du Der ! Je suis fin prêt, affuté, alors zou ! En route pour la découverte d’un département qui pour moi est un mystère…

Et voici notre première journée autour du lac en vidéo :

Levé aux aurores tel des explorateurs en territoire inconnu, nous partons sur la piste des églises à pan de bois du pays champenois. Sur un périmètre relativement restreint, on peut découvrir une dizaine de ces édifices religieux édifiés entre la fin du XVème et le XVIIIème. On tombe à chaque fois sur un petit trésor architectural, chaque église ayant son look bien particulier (c’est coquet une église !).

Pourquoi ces églises à pan de bois me direz-vous ? Et bien, la région ne dispose pas de carrières et faire venir les pierres nécessaires à la construction des églises coûtait beaucoup d’argent pour des villages souvent assez pauvres. Du coup on utilisait les ressources disponibles sur place et en grande quantité comme le chêne !

Fabriqués comme un jeu de construction géant, il était possible de les démonter relativement facilement pour les déplacer. Ce qui a été le cas pour l’église de Nuisement, relocalisée suite à la création du Lac du Der et la disparition sous les eaux de trois villages !

Nous terminons notre périple matinal par mon coup de cœur, l’église de Saint-Léger-sous-Margerie ! Bien qu’en assez mauvais état, on devine sous les ravages du temps de magnifiques peintures cachées derrière un bâtiment assez trapu. En plus j’ai pu jouer à l’enfant de cœur et sonner les cloches ! Bon, les habitants on du être surpris mais ça valait le coup !

Pour finir cette journée riche en découverte, quoi de mieux que d’aller se reposer dans un village fleuri ? Logique dans le premier département fleuri de France ! Haussignémont nous tend les bras et offre à nos yeux ébahis une débauche de couleurs et de senteurs.

Qui c’est qui va faire un gros dodo ce soir ? ;)

Cédric

C’est bien, mais ça aurait pu être mieux. Selon l’étude de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) l’e-tourisme a augmenté de 9% au premier semestre. Mais en y regardant de plus près, on peut noter un tassement. En effet, la croissance qui était de 12% au premier trimestre n’a été « que » de 6% au deuxième.

Ce ralentissement concerne aussi l’e-commerce en général.

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« Ce week-end, j’ai fait la route du vin à Bordeaux. » Si l’un de vos amis vous a déjà dit cela, c’est qu’il est oenotouriste. Encore aujourd’hui, le vin reste la boisson alcoolisée la plus consommée par les Français. Alors, qu’est-ce-que l’oenotourisme ? Qui sont les oenotouristes ? Quelles sont ses origines ?

C’est quoi ?

L’oenotourisme a pour but de découvrir des régions viticoles et leurs productions. Le programme européen Vintur a lui-même sa définition : « le produit œnotourisme consiste à l’intégration sous un même concept thématique des ressources et services touristiques d’intérêt, existants ou potentiels, dans une zone vitivinicole ». La plupart des sites d’oenotourisme (68,9%) ont choisi ce domaine pour agrandir leur image de marque.

D’où ça vient ?

Il faut remonter au développement touristique autour des 12 routes des vins en France. La plus ancienne se situe en Alsace. Elle a été inaugurée en 1953 afin de célébrer et promouvoir les grands crus de la région. Depuis, les activités touristiques autour des routes des vins se sont largement diversifiées. Depuis près de 10 ans, le concours Best Of Wine Tourism récompense les propriétés et opérateurs touristiques pour la qualité de leurs services et de leur accueil en matière d’oenotourisme. Organisé par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Bordeaux, neuf membres du Réseau participent à ce challenge : Bilbao|Rioja, Bordeaux, Cape Town, Christchurch|South Island, Florence, Mayence|Rheinhessen, Mendoza, Porto, et San Francisco|Napa Valley.

Qui sont-ils ?

Selon un sondage Atout France, l’oenotouriste est quadragénaire. Issu d’une catégorie socio-professionnelle supérieure, il est assez dépensier. D’après une étude de Great Wine Capitals Global Network, ce serait un homme qui décide de quitter sa ville durant l’été (70,4% des visites se font durant cette saison). Les femmes ne représenteraient que 25% des oenotouristes. La France en compte environ 7,5 millions. En moyenne, il reste 10 à 12 jours et visitent 3 à 4 sites. Enfin, 43% des touristes interrogés sont d’origine étrangère.

Quels intérêts ?

Les deux partis sont gagnants. les viticulteurs gagnent des revenus grâce à la dégustation sur place. En moyenne, l’oenotourisme rapporte 19,45% des revenus d’une propriété contre 77,9% pour toutes les autres ventes. Les visiteurs, de leur côté, cherchent une authenticité à leur séjour. Cette excursion leur permet de donner à leurs vacances une plus-value en termes de culture.

Combien existent-ils de sites en France?

L’agence de développement touristique Atout France a labellisé 19 destinations aux 4 coins de la France. Un prix a été créé par la société pour récompenser les meilleures initiatives dans les vignobles français : le prix national de l’oenotourisme.