Pour mon compléter ma plus récente chronique estivale à C’est bien meilleur le matin, voici quelques informations supplémentaires et une série de liens en rapport avec le sujet du jour.

"Silence, je dors!" - Gary Lawrence

Rares sont ceux qui ne pestent pas, un jour ou l’autre, en étant confrontés aux nombreux irritants inhérents au transport aérien, de l’attente à l’aéroport en passant par les agents zélés jusqu’à l’unilinguisme anglophone des agents de bord sur des vols pour Montréal, en passant par les satanés retards.

L’an dernier, sur les 2,5 M de vols enregistrés aux États-Unis, 500 000 n’étaient pas à l’heure (sans compter les 69 000 annulations). Entre autres responsables: la météo, les ennuis mécaniques, les problèmes de manutention au sol, les grèves ou, parfois, le retard d’autres avions en retard: là-dessus, on n’a aucun contrôle et on doit donc attendre dans l’avion, sur le tarmac, jusqu’à ce les autres appareils aient décollé…

En revanche, pour éviter de subir une attente prolongée à l’aéroport à cause d’un retard, on peut s’assurer que le vol est à l’heure en appellant le transporteur ou l’aéroport ou en visitant leur site Web respectif, ou alors on consulte des applications pour téléphones comme Flight Board, Flight Arrivals ou Flight Status.

Avant d’acheter son billet, il est aussi possible de consulter les statistiques de ponctualité des transporteurs sur FlightStats.com ou sur ce site (en français), ou s’informer de la réputation d’une compagnie aérienne sur www.liste-noire.org.

Cela dit, à chaque année, les transporteurs trouvent de nouvelles façons de nous imposer des frais supplémentaires: les plus fréquentes sont les franchises de bagages additionnels et les frais d’excédent de bagage, qui ont permis aux transporteurs réguliers états-uniens d’engranger 3,4 milliards de revenus, rien qu’en 2011. Chez Spirit Airlines, on a même commencé à facturer 40 $ pour des bagages en cabine… Pour savoir à quoi s’attendre avant de traiter avec une compagnie aérienne, on peut consulter le site Airfarewatchdog.com ou la section “airline fees” du site Kayak.com.

Sinon, d’autres frais apparaissent tellement vite qu’il est difficile de suivre leur évolution: désormais, on facture parfois pour le visionnement d’un film (6 $ sur Delta Airlines), une couverture et un oreiller (25 $), une bouteille d’eau (2 $ sur SAS) ou la présélection de siège, de plus en plus souvent.

L’ennui, c’est que vu la popularité de ce dernier service, il reste de moins en moins de blocs de sièges disponibles, à bord des appareils de certains transporteurs, ce qui oblige les familles qui veulent demeurer ensemble à payer – à supposer qu’elles aient été mises au courant de cette pratique. Un Congressman de New York a donc déposé un projet de loi, le Families Flying Together Act, pour forcer les compagnies aériennes à garantir le droit aux familles d’être assises ensemble à bord d’un avion.

Des groupes de pression attaquent déjà ce projet de loi, mais ceux-ci ne semblent pas réaliser qu’en séparant les familles, le risque de voir les enfants devenir turbulents augmente considérablement, au détriment de tous les passagers.

À cet égard, les règles de bon voisinage ne sont justement pas toujours évidentes à suivre, avec la promiscuité propre aux avions. Mais il existe maintenant des moyens de choisir qui sera assis à côté de nous, dans certains cas limités:

-avec MHBuddy, sur Malaysia Airlines

-avec Meet & Seat, sur KLM

-avec Planely, pour n’importe quel transporteur.

Tout ce que les passagers ont à faire, c’est inscrire les détails de leur vol pour recevoir la liste des autres passagers aussi inscrits à ce service, via Facebook et LinkedIn. Cela fait, il ne leur reste plus qu’à “magasiner” leur voisin de siège et à prendre contact.

Enfin, pour ceux qui auraient apprécié la compagnie d’une personne sans oser lui demander ses coordonnées, ou qui auraient aperçu l’âme soeur au cours d’un vol, le site Wemetonaplane.com permet éventuellement de la retrouver. Pour ce faire, il faut encore une fois entrer les détails de son vol, mais aussi laisser un message et surtout, espérer que l’autre personne fera de même…

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Liligo.com, n°1 français de la comparaison de voyages sur mobile, réaffirme son engagement auprès des voyageurs. Après le service de recherche en temps réel de billets d’avion et de nuits d’hôtels, l’application iPhone de liligo fournit maintenant la comparaison des locations de voitures.

liligo.com propose son application dédiée à la location de voiture

Fort de son succès sur la comparaison de billets d’avion et de nuits d’hôtel, avec plus de 700 000 téléchargements à son actif, liligo.com est de retour avec une toute nouvelle application.

Dorénavant, l’application liligo référence les prix de dizaines de loueurs de voiture dans plusieurs centaines de villes et d’aéroports dans le monde. Avec cette nouvelle version de l’application, les voyageurs accèdent à un service de recherche de voyages complet, performant et rapide.

• Téléchargez liligo pour iPhone (gratuitement) !

Les plus du comparateur de voitures :

• Recherche de location de voiture dans le monde entier
• Tri et filtre des résultats parmi les critères suivants : prix, capacité, modèle, type de véhicule, options, etc.
• Réservation sur le site marchand
• Possibilité d’envoyer les résultats de la recherche par mail

Les autres nouveautés de l’application

Toutes catégories :

• Possibilité de supprimer des recherches de l’historique

Hôtels :

• Géo-localisation : pré-remplissage du formulaire de recherche, localisation sur le plan
• Tri des résultats en fonction de la position de l’utilisateur
• Possibilité d’envoyer les résultats de la recherche par mail

D’autres innovations seront prochainement disponibles avec l’application liligo sur iPhone, ainsi que sur iPad et Android.

Et toujours…

L’application iPhone de liligo, également disponible sur Ipad et Android, permet de lancer une recherche simultanée sur plusieurs centaines de sites de voyage (agences de voyage, compagnies aériennes et ferroviaires, tour operators,…), sans jamais oublier les compagnies low cost (70 compagnies) et de trouver les billets d’avion les moins chers du web. De plus, la version pour iPhone permet d’appliquer les performances du moteur de recherche de liligo.com à la recherche d’hôtels, en indexant plus de 300 000 établissements, dans 500 villes, en France et dans le monde !

Bonne utilisation et bons voyages !

Voici un nouveau gage d’un séjour touristique réussi ! Grâce au label « Patrimoine du XXème siècle » vous pourrez reconnaître les monuments que notre ministère de la culture souhaite mettre en lumière. Ces monuments sont choisis selon leur caractère remarquable et représentatif de la vision urbaine et architecturale du siècle dernier.

Histoire du label « Patrimoine du XXème siècle »

Le label du “Patrimoine du XXème siècle” est un label officiel français créé par le ministère de la culture et de la communication en 1999. Il a pour objectif d’identifier et de signaler au grand public, à l’aide d’un logo spécifique, les constructions et ensembles urbains appartenant au patrimoine du XXème siècle et considérés comme remarquables.

Cette distinction est attribuée par le préfet de la région du site, après un examen complet par la Commision régionale du patrimoine et des sites d’une liste de critères établis par un groupe de travail régional.

Les édifices réalisés au XXème siècle qui sont déjà détenteur du titre de “monuments historiques” ou protégés par une “zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager” (ZPPAUP) bénéficient automatiquement du label. Les lieux classés par le label “Patrimoine du XXème siècle” sont des monuments dont l’intérêt architectural et urbain justifie de les transmettre aux générations futures comme des éléments à part entière du patrimoine du XXème siècle.

Obtention du Label « Patrimoine du XXème siècle »

Les actions de labellisation se déroulent en trois phases :

Pour commencer, il y a la mise en place de groupes de travaux chargés d’élaborer et de valider les listes de sites choisis par le ministère. Ils associent notamment les chercheurs de l’Inventaire, les chargés d’études documentaires des monuments historiques, les architectes des bâtiments de France et les enseignants chercheurs des universités et écoles d’architecture. Ces listes ont été présentées aux Commissions régionales du patrimoine et des sites (CRPS) et approuvées ensuite par le Préfet de Région.

On entame ensuite l’apposition des plaques (logo) sur les édifices désignés sur les listes. Des publications sur Internet sont ensuite mises en place. Lorsque que le logo du label est aposé sur le monument distingué, il est accompagné par des actions de sensibilisation et de diffusion auprès des élus, des aménageurs et du public (expositions, publications…).

Ce label ne comporte pas de logistique ni d’accord strict comme pour les autres labels officiels français. Il n’en résulte pas de mesure de protection ou de contraintes particulières, il s’agit simplement d’une mise en lumière des productions humaines que l’on considère typique du XXème sicèle. Celles-ci sont donc signalées à l’attention du public par l’affichage d’un logo type, dessiné par Patrick Rubin et Valérie de Calignon de l’atelier d’architecture Canal, et choisi pour représenté le label en 2004 par la direction de l’Architecture et du Patrimoine.

N’hésitez pas à accorder un intérêt certain pour les édifices possédant ce logo si vous voulez en savoir plus sur l’architecture du 20ème siècle. Pour retrouver l’intégralité des monuments ayant ce label, vous pouvez les consulter la base Architecture-Mérimée.

[Photo 1, Photo 2, Photo 3, Photo 4]

Je viens de publier un de mes ebooks en format kindle.

Vous le connaissez déjà, je vous l’avais proposé en septembre dernier. « 12 voyageurs qui ont franchi le pas » est un ebook gratuit que vous pouvez trouver sur cette page.

« 12 voyageurs qui ont franchi le pas »

Ou la beauté du voyage au long cours en 7 questions…

Ce livre regroupe donc 12 interviews de voyageurs autour du monde. Ils ont choisi de franchir le pas et de partir seul, en famille ou à deux. Des voyages sans dates de retour, en vélo, à pied etc..

Des voyageurs jeunes et moins jeunes.

Des interviews motivantes et qui vous donneront à coup sûr de l’inspiration !

La version Kindle

Vous le savez, je suis fan du kindle. Le readeur d’Amazon permet de lire sans fatigue et de stocker des milliers de livres. Sans parler d’une grosse autonomie, atout vital pour le voyageur. Bref, tout pour plaire à celui qui est sur la route.

La version kindle du pdf est la même. Elle est proposée à un coût modique : moins d’1 euro! Le but n’est pas de gagner de l’argent, mais d’être présent dans le classement des ventes voyages sur Kindle.

 

Aussi, si vous ne l’avez pas déjà lu, je vous invite à vous procurer la version Kindle et à laisser un commentaire sur Amazon:-). Merci d’avance !

 

Inspirant et positif, voici un livre qui risque de vous donner envie de partir à l’autre bout du monde!

 

Quand à la méthode a.t.i.p.i.c., elle sera très prochainement disponible en version kindle !

Au fait, êtes-vous nombreux à avoir un kindle ? Ou peut-être avez-vous un autre reader ?