De nombreuses destinations touristiques parmi les plus belles, les plus exotiques et les plus paradisiaques sont également les moins chères du monde. Alors, pourquoi se priver d’un voyage de rêve le temps de se relaxer et de se détendre loin des tracas du quotidien?

Ruines de Wat Chaiwatthanaram en Thailande

La Thaïlande : un pays pas cher pour un séjour. En dehors des quelques complexes touristiques, il est facile d’y séjourner avec moins de 460 € le mois. Pour des vacances de rêves à petit prix vous pouvez louer un appartement coquet pour 100 à 150 € et préparer vos repas chez vous tout en profitant des paysages verdoyants, des plages au sable fin et aux eaux translucides ainsi que le patrimoine culturel qui compte plusieurs milliers de temples bouddhistes des plus beaux au monde.

• Voyage en Thailand, Bankok, Temples et plages paradisiaques
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Les Philippines : Loin de Manille, vous pouvez trouver des coins très agréables et pas chers dans l’archipel des Philippines. Ainsi à l’île de Cebu, vous pouvez louer un appartement très agréable au bord d’une mer turquoise à 150 €, ou encore à Dumaguete où la location meublée d’un appartement ne dépasse pas les 100 € alors que pour le transport vous avez le choix entre les taxis et la location de voiture très abordable. Tandis que pour la nourriture faire le marché pour acheter du poisson frais et des fruits juteux reste la meilleure option.

Les rizières de Banaue

La Bulgarie : Outre que c’est un pays magnifique, la Bulgarie demeure l’une des destinations touristiques les moins chères en Europe. Le coût de la vie est très bas, ainsi en choisissant un lit dans un dortoir on peut passer une agréable nuit à 6 € seulement. Alors qu’on optant pour l’un des meilleurs restaurants de la ville on peut manger bien à 4 €, tandis que pour les boissons généralement elles ne dépassent pas 1 €. En gros on peut dépenser en une journée, tous frais compris, 17 €. Une vraie aubaine!

Maslen Nos – Creative Commons Evgord

L’écrivain Paulo Coelho, qui se décrit comme un pèlerin dans l’âme, vient de publier sur son blogue les 9 principaux trucs qu’il préconise pour bien voyager. En voici un aperçu (traduction libre).

Désert blanc, Égypte - Gary Lawrence

1-Évitez les musées: si vous êtes dans une ville, n’est-il pas plus intéressant de vous attarder au présent plutôt qu’au passé? Certes, les musées ont leur utilité, mais ils nécessitent temps et objectivité – vous devez savoir à quoi vous y attendre, sinon vous en sortirez avec l’impression d’avoir vu quelque chose d’essentiel, sans vous rappeler ce que c’était.

2-Traînez dans les bars populaires: c’est là qu’une ville se révèle, là où se retrouve le commun des mortels, là où on peut tâter le pouls d’une population. Si quelqu’un vous y aborde avec un sujet qui vous semble banal, engagez tout de même la conversation: on ne juge pas de la beauté du parcours sur un simple coup d’oeil du portail.

3-Soyez ouverts: les meilleurs guides d’une ville sont ceux qui ne sont pas payés pour l’être, alors abordez le premier quidam venu et demandez-lui son avis sur telle ou telle chose à voir ou à faire; si rien ne se passe, demandez à quelqu’un d’autre… À la fin de la journée, vous vous serez fait un nouveau compagnon.

4-Voyagez seul – ou avec votre épouse, si vous êtes marié: ça vous demandera plus d’efforts, mais c’est la seule façon de laisser votre pays derrière vous, contrairement aux voyages organisés.

5-Ne comparez pas ce que vous voyez ou vivez avec vos propres points de référence (prix, degré d’hygiène, qualité de vie, etc.): vous ne voyagez pas pour vous prouver à vous-même que vous êtes privilégié, mais parce que vous êtes curieux de savoir comment vivent les autres dans tous les ailleurs de la Terre.

6- Dites-vous qu’il est toujours possible de se faire comprendre: même dans les endroits où personne ne connaît la langue de l’autre, on peut toujours trouver de l’aide, un coup de pouce et même une tendre moitié. Certains ont peur de sortir seuls, de crainte de ne pas pouvoir retrouver leur chemin, le soir venu: il suffit de garder la carte de son hôtel dans sa poche et de hêler un taxi, au besoin.

7-N’achetez pas trop: dépensez votre argent pour des choses que vous n’aurez pas à rapporter (restos, excursions, spectacles) et qui ne vous encombreront pas: de nos jours, vous pouvez vous offrir (presque) tout ce que vous voulez sur Internet, dans ce grand marché global qu’est le monde.

8-N’essayez pas de voir le monde en un mois: mieux vaut passer 4 ou 5 jours dans une ville plutôt que de visiter 4 ou 5 villes en une semaine. Une ville est comme une femme capricieuse: il lui faut du temps pour vous séduire et se révéler complètement.

9-Voyager, c’est partir à l’aventure: comme le disait Henry Miller, mieux vaut visiter une église inconnue plutôt que d’aller à Rome et se sentir obligé de visiter la chapelle Sixtine avec 200 000 autres touristes. Bref, visitez tout de même la chapelle Sixtine, mais perdez-vous ensuite dans les ruelles et les passages de la ville, et cherchez quelque chose (que vous ne connaissez pas encore) qui pourrait changer votre vie.

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Après une année de dur labeur, voici enfin venu le temps des vacances. Mais au fait, des vacances pour quoi faire ? Pour partir visiter le monde, revoir la famille ou les amis, bricoler chez soi, ne rien faire ? Un peu de tout ça ! C’est en tout cas ce que montrent les résultats d’un sondage réalisé par Harris Interactive pour Voyages-sncf.com.

Pour la majorité des Français, les vacances idéales, c’est tout à la fois : repos, détente et découverte, dans un endroit nouveau, mais en France de préférence.

Les vacances sont faites pour…

• se reposer et se détendre (91%)
• se dépayser (88%)
• se cultiver et visiter (83%)

Mais où partir en vacances ?

• Les séjours à la mer (53%)
• La campagne (20%)
• La montagne (18%)
• La ville (7%)

On le voit, pour plus de la moitié des personnes, « vacances » riment avec « mer ». La même proportion des personnes interrogées indique que des vacances réussies doivent intégrer une piscine dans le décor. Les activités (41%), le sport  (39%) et la fête (36%) tiennent aussi une place importante pour bon nombre de personnes pour des vacances idéales.

Si la majorité des français ne souhaite pas quitter le pays (56%), les trois quarts tiennent quand même à un minimum de dépaysement : 74% préfèrent partir à « au moins trois heures » de chez eux et 75% veulent découvrir une nouvelle destination.

Par quel moyen de transport ? La voiture avant l’avion, l’avion avant le train.

Et, vous, à quelles vacances rêvez-vous ?

Photo : Jean-Louis Zimmermann / Flickr cc.

Quelques Points d’intérêt pour préparer votre voyage à Zanzibar !

Chwaka Bay

A l’Est de l’île principale de Zanzibar (Unguja), découvrez la baie de Chwaka, un lieu surprenant concentrant les activités d’algoculture, de pêche et qui vous offrira un très bon site de plongée. Attention, pensez au phénomène de marée qui vous fera marcher si vous êtes à marée basse! Vous pouvez envisager de réserver un tour sur un bateau via l’hôtel Breezes ou Karafuu disponible grâce à Sensations du Monde et la Gazette du Voyage.

Côte sud-est

Points sud de Chwaka Bay

Sur la route de la côte sud-est se situe des endroits amusants à visiter, tels que la Jozani Forest et le Parc Zala. N’hésitez pas à passer par là car sur la même route, un peu plus loin, se trouvent les ruines Khole Bi.

Unguja Ukuu

Pensé pour être un des premiers établissements sur l’île, Unguja Ukuu remonte au 5ème siècle et peut-être été colonisée par des immigrés Shirazi. Peut-être abandonné dès le 10ème siècle, mais réoccupé au 16ème siècle, le site de l’ancienne colonie est accessible aux visiteurs en passant par le village moderne de Unguja Ukuu. Il ne reste pas grand chose, sauf quelques fouilles ont permises de trouver des structures en ruines.

Villages côtiers du Sud

Paje est le premier village en fin de route au sud-est et il y a un contrôle de police (qui sont fréquentes sur les routes de Zanzibar, mais rien à craindre) que vous vous approchez du village. La route vers cette partie de l’île était auparavant un horrible et poussiéreux étirement grêlée de roches ou la saleté et les vaches se mêlaient mais a depuis été réparée pour assurer un niveau décent de confort. Si vous avez loué une voiture, assurez-vous d’avoir vérifier les emplacements de roue de secours, cric, et d’autres produits essentiels pour prendre la route en toute sécurité. Paje est un petit village côtier et est une sorte de point d’accès aux autres villages sur la côte sud-est. Les plages sont à couper le souffle tout au long de la côte. Le snorkeling est une expérience sensationnel tout au long de la barrière de corail, mais vous pourriez avoir à marcher pour vous rendre à lui.

Soyez prudent lorsque vous aller à la plage près de Paje ou à Chwaka pour s’assurer que vous ne marchez pas sur une ferme. La culture des algues est une importante source de revenue sur cette partie de l’île et parfois les algues sont disposées de telle façon naturelle que l’on ne se rend pas compte que cela est une production aquacole. Les fermes sont faciles à repérer, à marée basse en raison des bâtons qui surgissent hors de l’eau, mais faites attention lorsque vous marcherez à travers les villages afin de ne pas piétiner les récoltes!

Top Dive / Sites de plongée de l’archipel de Zanzibar

Atoll de Mnemba

Une grande variété de la vie des récifs est visible en permanence sur l’atoll de Mnemba : des mérous aux tortues vertes et requins baleines. La plongée en apnée et la plongée en bouteille sont si exceptionnelles ici que les bateaux de centres de plongée de Nungwi à Kiwengwa se trouvent tous les jours à différents points au large de l’atoll. Avec des noms de sites tels que «L’Aquarium» cela vous donnera une idée de la clarté de l’eau et des spécimens destinés à être repérés. L’atoll de Mnemba est le plus grand trésor sous marin du large de Unguja autant pour les novices que pour les plongeurs confirmés.

Level Bank

Leven Bank est un spot de plongée dédié uniquement aux plongeurs expérimentés. Les eaux sont profondes et de forts courants peuvent rendre la plongée difficile, mais l’effort est payant et vous pourrez admirer des poissons de grandes tailles et en grands nombres. Cet emplacement se situe dans le canal de Pemba.

Sable Island Bar

Situé  juste au sud de la Serena à Stone Town, le Sand Bar se situe à 30 minutes de la ville en bateau. Un excellent emplacement pour les plongeurs car le récif commence à environ un ou deux mètres. La profondeur maximale de plongée n’est pas de plus de 20 mètres. La vie sous-marine est omniprésente et satisfait grandement les plongeurs!

Bawe Island

Bawe Island est un autre excellent choix pour les plongées en mer à quelques minutes de Stone Town. Les formations coralliennes comprennent du cerveau, de la corne de cerf, et d’autres formes distinctes. Vous pouvez également admirer  beaucoup de concombres de mer, de palourdes géantes et des anémones. Il y a beaucoup de poissons, le courant n’est pas fort et les profondeurs sont bonnes pour les plongeurs de niveau débutant.

Prison Island

Prison Island, situé à seulement 15 minutes de Stone Town, est un endroit populaire pour les novices en plongée et snorkeling en raison des faibles profondeurs, de la variété du corail et de la vie marine et le manque de courant fort.

La Grande Nordiste

La Grande-Nordiste est un must pour les amateurs d’épave. Situé entre Bawe et Pange Sandbar et à peu près à 30 minutes de la ville, elle est couchée à environ 12m sous la mer  sur le bord du récif. Elle se laissa tomber le jour de la Saint-Sylvestre de 1897. L’épave est en morceaux, mais il y a beaucoup de vie autour d’elle. Parfois connu sous le nom de « Clown City » en raison du nombre de poissons clown, la Grande-Nordiste est idéale pour la plongée avec tuba, mais n’est pas recommandée en bouteille en raison de la profondeur.

Fumba

Fumba est une péninsule sur la partie sud-ouest de l’île. Il s’agit d’un territoire presque vierge car le gouvernement n’a pas encore délivré de permis aux entreprises touristiques d’exploiter cette partie de l’île. Fumba est à seulement 15 km de Stone Town et le village n’accueille pas vraiment les visiteurs donc ne vous attendez pas à trouver un magasin de plongée dans la région!

Pour les voyages de pêche en haute mer ou en bateau autour de Unguja ou Pemba,  il y a quelques bateaux de luxe à louer ainsi que des bateaux qui sont destinés uniquement pour vous y rendre et y revenir.

Du 2 juillet au 23 Septembre, les « rencontres photographiques d’Arles » vous ouvrent leurs portes. L’édition de cette année promet encore de grandes œuvres exposées dans toute la ville. Amateur de photographie ou non, vous avez presque 3 mois entiers pour assister à cet événement incontournable.

« Les rencontres » en histoire

Les « Rencontres d’Arles » est un festival estival annuel de photographie fondé en 1970 par le photographe arlésien Lucien Clergue, l’écrivain Michel Tournier et l’historien Jean-Maurice Rouquette. Le programme tire sa richesse de la pluralité des points de vue d’experts d’horizons différents (une vingtaine chaque année). De nombreux photographes ont été révélés grâce aux « Rencontres d’Arles », ce qui confirme l’importance du festival en tant que tremplin pour la photographie et la création contemporaine. Et ce sont justement ces jeunes talent qui sont mis à l’honneur dans cette édition 2012.

Rien n’a changé depuis la création de cet événement en 1970. On découvre toujours de nouveaux talents en cohabitation avec des photographes confirmés, tous d’horizon différents. Leurs travaux étant toujours éparpillés dans plus de 60 lieux d’expositions. C’est la diversité des participants, la longueur du festival et son étendue sur toute la ville qui lui donne cette renommée internationale.

Parmi les constantes des « rencontres » ont retrouve aussi la pratique : la pratique de l’art à travers des stages de formation ouverts à tous. Les stages de photographie permettent chaque année aux participants de s’engager dans une démarche personnelle de création, au plus proche des enjeux esthétiques, éthiques et technologiques de la photo. Des grands noms de la photographie sont régulièrement maîtres de stages pour les « Rencontres d’Arles » : Guy le Querrec, Antoine d’Agata, Martin Parr, René Burri, Joan Fontcuberta.

La photo : témoin du monde qui l’entoure

Les « Rencontres photographiques d’Arles » 2012 sont étroitement liées à l’ENSP (École Nationale Supérieure de Photographie) et se donnent une mission éducative.

La mission éducative des « Rencontres d’Arles » se développe à travers un jeu pour les écoles consacré au décryptage des images et le lancement de production de films diffusés sur le Net à partir des « Rencontres » de l’été. Le travail avec les anciens étudiants de l’École de photographie d’Arles est pour toute l’équipe des « Rencontres » une suite de moments enrichissants, de surprises émerveillées à la rencontre de créations peu connues et de découvertes passionnantes des collections du musée Galliera, de la Société française de photographie, du Fond national d’Art contemporain, de la collection du péruvien Jan Mulder ou des Fratelli Alinari de Florence.

François Hébel, le directeur de l’événement, veut prouver cette année qu’il existe une réelle place pour l’art photographique en France. Une école française existe bel et bien : elle est multiple, dense, gaie, instruite, et si elle est parfois trop modeste à côté de la Yale University School of Art (U.S.A) ou de The Düsseldorf School of Photography (Allemagne), elle n’en est pas moins bourrée de talent. C’est ce talent véritable que vous pourrez admirer aux détours des expositions.

La promotion de l’école française ne met pas pour autant à l’écart les autres cultures dont elle se nourrit. Sont associés à cette fête des responsables d’écoles de photographie des quatre continents et leurs invités photographes du monde entier. Des artistes étrangers ayant choisis la France et désireux d’acquérir le prix Découverte que décerne les « Rencontres d’Arles » sont présents. Parmi eux : Josef Koudelka, Amos Gitaï et Klavdij Sluban. L’association du Méjan (chargée des activités culturelles à la chapelle Saint-Martin du Méjan) et le centre des Musées nationaux complètent ce panorama en invitant d’éminents artistes, pour la plupart français, utilisant la photographie avec notamment Sophie Calle qui exposera à la chapelle du Méjan.

Les événements d’ouvertures

Outre les expositions, des « événements » auront lieu lors des 4 premières nuits des « Rencontres photographiques ». Des projections nocturnes au Théâtre Antique sont prévues. Durant la semaine d’ouverture vous pourrez découvrir en première partie de soirée  : « le Milo du Soir » qui est un cours particulier donné par un professeur de l’ENSP, Christian Milovanoff, photographe/enseignant au rôle important sur toutes les promotions de l’école sorties depuis trente ans. Sa performante leçon consistera en une critique des différents genres photographiques mais aussi de ce qui préoccupent tant les photographes : portrait, classement, mémoire, paroles.

C’est à la suite de cela que vous pourrez découvrir les photographes de la coopérative Magnum Photos. C’est un événement d’une grande importance de part sa rareté, cette agence se réunissant d’habitude sur Paris, New York et Londres. Mais pour la première fois cette année, pour fêter son 65ème anniversaire, l’agence de presse a décidé de se réunir à Arles. La présence de ces merveilleux photographes est exceptionnelle, d’où leur présence sur toutes les deuxièmes parties de soirées du théâtre Antique pendant la semaine d’ouverture.

A travers la soixantaine d’expositions installées dans les divers lieux patrimoniaux exceptionnels de la ville d’Arles ; ces « Rencontres » entendent contribuer à transmettre le patrimoine photographique mondial et se veulent également « le creuset de la création contemporaine » par la découverte de jeunes photographes talentueux et plus particulièrement français, lors de cette édition 2012.

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